Le 10 octobre 2023, le gouvernement a décidé d’étendre la possibilité d’offrir des flexi-jobs à 12 nouveaux secteurs à partir du 1er janvier 2024. Cette décision, qui doit toutefois encore être inscrite dans la loi et confirmée par les commissions paritaires respectives, concerne les secteurs suivants :

  • l’accueil des enfants ;
  • le secteur de l’enseignement ;
  • le secteur alimentaire ;
  • le secteur du transport et de la logistique ;
  • le secteur des pompes funèbres ;
  • le secteur automobile ;
  • le secteur sportif et culturel ;
  • le secteur de l’événementiel ;
  • le secteur du déménagement ;
  • le secteur des auto-écoles ;
  • le secteur de l’immobilier ;
  • le secteur de l’agriculture et de l’horticulture.

Dans l’enseignement et la garde d’enfants, le flexi-jobber doit toutefois disposer des formations ou des diplômes requis.

 

Qu’est-ce qu’un flexi-job exactement ?

Un flexi-job est une forme d’emploi dans laquelle un travailleur accepte un travail supplémentaire à des conditions avantageuses :

En tant qu’employeur, vous ne payez pour un flexi-jobber qu’une cotisation patronale de 25 % (28 % à partir du 01/01/2024). Cela signifie qu’il n’y a ni cotisations de sécurité sociale normales ni précompte professionnel.

Votre travailleur ne doit payer ni cotisations salariales ni précompte professionnel sur le flexi-salaire. Il n’est pas affecté à une échelle d’imposition supérieure, mais acquiert des droits sociaux.

 

Qui pouvez-vous engager pour un flexi-job ?

Les flexi-jobs sont destinés aux :

  • retraités et
  • salariés qui travaillent déjà au moins à 4/5 pour quelqu’un d’autre

 

Pour les salariés, le montant exonéré d’impôts sera limité à 12.000€ par an à partir du 01/01/2024. Cette limite ne s’applique toutefois pas aux retraités.

 

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